Penser positif : comment stopper la rumination mentale ?

Isabelle Andreau • janv. 24, 2018

Je n' aurai pas dû faire comme ça.......
J' ai oublié de ............
Qu' ont -ils voulu dire en me disant ......... ?
Et s' il exigeait que..... ?
Comment pouvoir penser positif et sortir de cette rumination mentale ?

Téléchargez mon eBook offert " Les 5 MEILLEURS anti stress pour les personnes aux émotions fortes et au mental très actif "




1. Vous connaissez ces petites phrases qui nous amènent à nous prendre la tête.

Ces phrases qui nous amènent à couper les cheveux en quatre ou encore à voir midi à 14 heures ?!
J' avoue que j' ai bien connu cela et que je faisais partie de ces " inquiètes ". Au début, nous sommes juste préoccupés par ce qui vient de se passer puis notre esprit revisite d' autres situations similaires du passé et enfin tombe dans une spirale où les scénarios futurs sont tous plus catastrophiques les uns que les autres.

Bienvenu au club des " overthinkers" .



2. Cette sensibilité amène à vivre de l' anxiété chronique.

La rumination finit par nous empêcher de discerner les peccadilles de ce qui est important et tout devient une prise de tête. Penser positif est bien loin !

Pour éviter cette surchauffe mentale, il y a à se défocaliser de ce qui est à l' origine de ce " petit vélo " mental très actif.
La clé est de cesser de croire que nous sommes tenus de briller sur tous les points. Les femmes comme les hommes sont devenus très exigeants vis à vis d' eux mêmes. Ce malaise provient de l' idée que nous devons être parfait dans tous les secteurs de nos vies : couple, travail, cercle amical, en tant que parent ,.........


3. Nous voulons fuir toute forme d' imperfection possible.

Cela repose sur la peur, la peur de mal faire, la peur d' être imparfait/e, la peur de l' échec, la peur d' être rejeté,.......
Cette hyperactivité mentale entraîne des pensées négatives qui gonflent sans cesse.
Le " sois parfait " alors va vous couper de plus en plus de l' action pour vous maintenir dans une pensée qui devient stérile.



4. Voici un exercice de qualité :

Choisissez de voir tout ce qui va bien dans votre vie et votre personnalité. Prenez en considération que tout ce que vous faites déjà est bien même si cela demande parfois de l' amélioration. Vous quittez ainsi la zone de stress de votre cerveau et cela vous soulage dans un premier temps.
Soyez dans la gratitude de tout ce qui est là.

Faites ce bilan pour ne plus être focalisé sur les ruminations mais bien dans le présent là où vous avez un pouvoir d' action.
En agissant de cette manière, la rumination perd de la vitesse et vous sortirez des regrets du passé et de l' envie de contrôler le futur.
De plus votre esprit devient plus détendu et clair, ainsi les possibilités d'erreurs diminuent et vous avancez plus sereinement.

Pour faire disparaître cette obsession mentale, accordez vous la possibilité de parfois ruminer encore. Ce muscle peut être actif même si vous avez décidé de ne plus l' alimenter.
Peu à peu les choses vont se rétablir.


Isabelle ANDREAU

par Isabelle Andreau 19 avr., 2024
Rester dans un état de déception de soi peut avoir de nombreuses conséquences néfastes sur votre bien-être et votre qualité de vie. Voici quelques-unes des conséquences les plus courantes : Baisse de l'estime de soi : La déception de soi peut entraîner une baisse de l'estime de soi, vous faisant douter de vos capacités et de votre valeur personnelle. Développement de la dépression et de l'anxiété : Le sentiment constant de ne pas être à la hauteur peut contribuer au développement de la dépression et de l'anxiété, en sapant votre confiance en vous et en alimentant des pensées négatives. Isolement social : La déception de soi peut vous amener à vous retirer socialement, vous isolant des autres par peur du jugement ou par manque de confiance en vos relations. Incapacité à prendre des risques ou à saisir des opportunités : Lorsque vous êtes constamment déçu(e) de vous-même, vous pouvez hésiter à prendre des risques ou à saisir des opportunités, par crainte de l'échec ou du rejet. Stagnation personnelle et professionnelle : La déception de soi peut vous empêcher de poursuivre vos objectifs personnels et professionnels, vous laissant dans un état de stagnation où vous ne progressez pas ou ne réalisez pas votre plein potentiel. Relations tendues : Une faible estime de soi et des sentiments de déception de soi peuvent affecter vos relations avec les autres, entraînant des conflits, des malentendus et des difficultés à établir des liens émotionnels solides. Santé mentale et physique altérée : Vivre dans un état de déception de soi peut avoir un impact sur votre santé mentale et physique. Le stress constant et la négativité peuvent contribuer à des problèmes de santé mentale tels que l'anxiété et la dépression, ainsi qu'à des problèmes physiques tels que les troubles du sommeil et les maladies cardiovasculaires. Manque de motivation et d'initiative : La déception de soi peut vous faire perdre toute motivation et toute initiative pour poursuivre vos passions et vos intérêts, vous laissant dans un état d'apathie et de désintérêt pour la vie. En somme, rester dans un état de déception de soi peut avoir un impact profond et négatif sur tous les aspects de votre vie. Il est important de reconnaître ces sentiments et de chercher des moyens de les surmonter pour retrouver un sentiment de confiance en soi et de satisfaction personnelle.
par Isabelle Andreau 17 avr., 2024
Certaines habitudes auront des résultats directs dans votre vie. Bien souvent, les personnes hypersensibles s’investissent dans des habitudes qui freinent beaucoup leur parcours de vie ! Nos vies sont faites de hauts et de bas, de succès et d’échecs alors savoir se donner les moyens de surmonter tout ça est un beau cadeau à se faire ! Téléchargez l'eBook OFFERT " les 5 meilleurs anti stress pour les personnes au mental très actif" Ce qui fera une différence dans votre vie , c'est d’être votre allié/e dans les moments de doute, de dilemme, de perte de confiance en soi. Si dans ces moments là, vous êtes dans trop d’analyse, de remise en question vous risquez d’aller dans une paralysie complète. Douter, sur mentaliser est fatigant et coûte beaucoup d’énergie Être son allié/e , c’est savoir qu’on peut avoir confiance en soi pour sortir de cette situation. Et c’est là où il ne faut pas se désolidariser de soi ! Créer un lien de confiance avec soi permet de sortir des doutes, des hauts et des bas plus facilement. Vous ferez une différence dans votre vie en agissant de cette manière là. Être une allié/e pour soi, c’est garder un discours qui reste respectueux vis-à-vis de soi même . Particulièrement dans les moments où les choses partent en vrille, où ça part de travers. C’est être sans jugement, sans accusation, sans maltraitance face à sa vulnérabilité du moment. Vous traiter de manière respectueuse est primordial et réduira la rumination et le stress. Tout cela repose sur une notion de valeur vous concernant. C’est parce que vous ressentez votre valeur que vous pouvez vous parler en vous témoignant du respect. Tout le monde mérite le respect et vous n’êtes pas la personne qui devrait être la seule à ne pas en recevoir. Commencez dès aujourd’hui à le faire ! C’est ce qui fera une différence dans votre vie Vous avez aussi à prendre en compte ce qui est important pour vous, pour faire une différence dans votre vie. Est-ce que vous mettez systématiquement les besoins et les intérêts des autres au dessus des vôtres ? Ou savez vous vous appuyer sur vous pour prendre soin de ce qui compte pour vous ? Prendre soin de ce qui compte pour vous repose sur l’affirmation de vos besoins. Respecter et exprimer ce qui a de la valeur pour vous fera une grande différence dans votre vie. Un autre principe qui fera une belle différence dans votre vie, c’est de faire évoluer les choses malgré les hauts et les bas de la vie. Malgré des expériences ratées, soyez capable d’en faire une occasion précieuse pour intégrer les apprentissages nécessaires pour être plus aptes pour les expériences prochaines. C’est normal de tomber dans l’apitoiement de soi après un projet avorté, une relation brisée mais l’idée c’est de ne pas rester dans cette émotion. Une fois vécue, cette expérience peut se transformer en une force pour nous relever et recommencer. Comme une entrepreneure qui se lance dans l’entreprise de vêtements éthiques mais fait des ventes en deça de ce qu’elle avait espéré malgré tous ses efforts dans la création de sa ligne de vêtements. Une fois la déception passée , elle prend le temps de voir qu’elle a besoin d’une présence en ligne plus forte, d’un soutien financier supplémentaire pour faire grandir son entreprise. Avec persévérance, elle va chercher des investisseurs, mener des enquêtes auprès de ses clients pour ajuster ses produits et se former au marketing en ligne. Ce ne sont pas les succès qui forgent notre force mais les échecs où nous nous sommes mobilisés pour ne pas rester victime Et tout cela doit se traduire dans vos actions. Et pas seulement dans les belles promesses que vous vous tenez ! L’action détient un pouvoir, celui de renforcer la confiance en vous. Celui d'être un pont entre votre pensée et votre réalité. Chaque petit pas que vous faites, même modeste, constitue petit bout par petit bout, la structure de la confiance en vous . Chaque petit effort, chaque petit succès sont des graines de confiance. Ces petits accomplissements renforcent l'envie d'avancer Aborder la vie avec ses hauts et bas sans s’épauler, être attentive à ses besoins, sans se faire confiance en mettant toutes ses ressources à profit, ni apprendre au fur et à mesure de chaque expérience pour avancer plus facilement, ni rester son allié/e continuera à nous rendre les choses difficiles. Imaginez un artiste talentueux avec une créativité unique, mais qui se trouve tout le temps paralysé par ses propres doutes et incertitudes Il passe des jours à remettre en question ses idées, à se demander si son travail est assez bon, ou s'il sera bien reçu par le public ou subira des critiques. Ce manque de confiance en lui et en sa créativité le retient de partager son art ou de peindre pendant des mois et d'avancer sur son chemin artistique. Ou encore une femme qui veut construire des relations significatives, mais qui se retrouve constamment en train de se méfier d’elle-même en ne se faisant pas confiance lorsqu’elle rencontre des personnes. Elle se demande si elle dit les bonnes choses, si elle donne la bonne impression, ou si elle est assez intéressante. Ce manque de valorisation d’ elle même crée une barrière émotionnelle qui l'empêche de se connecter simplement avec les autres et d'établir des relations fluides et qui s'installent dans le temps. Agissez ! Offrez vous une meilleure expérience. Apportez une transformation plus grande dans votre vie, grâce à une meilleure communication avec vous, le renforcement de votre valeur, en prenant en compte ce qui compte pour vous, le développement de nouvelles compétences suite à un échec. Et si vous désirez aller plus loin, rejoignez l'accompagnement en ligne pour retrouver confiance en vous , pour dépasser plus facilement les périodes de doutes, pour développer une conviction profonde que vous avez la capacité de surmonter les défis, pour avoir l'esprit plus tranquille face aux périodes où votre mental s'emballe et vous ouvrir ainsi à toujours plus d'opportunités. Prenez connaissance de l'accompagnement en ligne que je vous propose sur plusieurs semaines ici Isabelle ANDREAU
par Isabelle Andreau 05 janv., 2024
Certaines choses semblent logiques à appliquer pour gagner en confiance en soi Pourtant ce sont aussi certaines choses paradoxales (qui vont à l'encontre de l'opinion collective), qui permettent de sortir plus vite d'un manque de confiance en soi. La confiance en soi est un véritable pilier qui peut nous manquer en tant que personne hypersensible. C'est quelque chose qui m'a souvent manqué notamment durant mes années de jeunesse, particulièrement durant mon adolescence et ma vie de jeune adulte. La confiance en soi favorise un positionnement serein dans un environnement social et d'avoir la capacité à s'affirmer auprès des autres. C'est naturel qu'elle soit fluctuante et demande à (re)visiter certains points tout au long de l'année pour la renforcer. Téléchargez le test OFFERT " Suis je hypersensible ?" Cette fois ci,, je ne vais pas vous parler des éléments de base qui sont de s'entourer de personnes bienveillantes, créer un environnement qui nous porte, renforcer son estime personnelle, connaître la valeur de qui nous sommes.... Ils sont bien sûr pertinents. Mais d'autres ne sont pas à négliger car ils vont renforcer ceux que je viens de citer. Voici 4 points qui vous aideront particulièrement : Reconnaître ses imperfections comme un accélérateur pour sa confiance Il n' est pas toujours simple de se voir comme n'étant pas parfait/es. Et si en plus, une personne nous dévalorise sur le sujet, nous juge négativement nous pourrions ne pas pouvoir demeurer neutre. Apprendre à être le premier à se voir comme imparfait/e peut être une façon de (re)prendre confiance en soi. Il est possible de travailler sur l'affirmation de soi, en ayant un regard honnête sur nos faiblesses et nos zones d'ombre. C'est un processus extrêmement accélérateur car il nous décomplexe là où nous avons peur nous même de se confronter ou d'être confronté/e. La peur du rejet social, du jugement d'autrui mais aussi de l’abandon nous amène à vouloir être parfait/e et à cacher nos failles, nos manquements, nos erreurs... Nous ne voulons que rien ne fuite de nous. Une pratique honnête sur nos imperfections (pas toujours facile à faire) permet pourtant de constater à quel point nous serons moins sensible aux critiques en nous détachant de notre idéal de perfection. Du même coup, nous verrons que les autres nous acceptent plus facilement même quand nous ne correspondons pas aux standards de perfection. Voir en toute humilité ses défauts, ses échecs, ses maniaqueries, ses petites travers favorise le chemin pour retrouver confiance en soi. C'est un véritable accélérateur. J'attire votre attention sur le fait qu'il ne s'agit pas pour autant de se dévaloriser ni de diminuer la valeur de qui nous sommes. Arrêter la comparaison La comparaison est un fonctionnement naturel du cerveau. Il ne s'agit pas de l' arrêter complètement mais de l'utiliser d'une manière qui soit efficace pour gagner en confiance en soi. Rien de mieux pour perdre confiance que de se comparer à des personnes qui sont plus confiantes, plus affirmées que nous Nous allons nous comparer à un parcours, une personnalité, une personne qui n'a peut être pas la même histoire que nous . Et l'estime de soi chute en flèche. Alors que l'apparence que donne cette personne ne reflète pas toujours le fait qu'elle ait, elle aussi des problèmes. C'est très facile de tomber dans le piège de se comparer à une personne qui a réussi à s'affirmer, à s'affranchir du regard des autres en tombant dans la dévalorisation. Et cela nous rend malheureux/se. Si nous nous comparons sans cesse à un membre de notre famille, à une personne de notre entourage professionnel qui est plus confiante que nous cela peut nous conduire à des attitudes contre productives. Comme de culpabiliser et d'être piégé/e par le poids qui s'installe en nous. La meilleure des choses à faire c'est de nous inspirer des autres sans se comparer. En se demandant quelles sont les attitudes inspirantes pour nous qui se dégagent de ces personnes ? Quels sont les fonctionnements dont nous pourrions être inspiré/e à suivre ? Ressentir ce qui nous inspire permet de trouver SES essentiels, SES valeurs, SON fil conducteur. Nous pouvons aussi vouloir nous rapprocher de personnes qui sont dans la même démarche que nous qui est celle de s'affirmer, de pouvoir se sentir plus libre d'être différent/e et de ne pas vivre une vie à moitié . Cet environnement donne l'occasion de vivre une émulation. Les inspirations qui pourraient se faire dans cet environnement seront plus saines et nous permettrons de valider des succès et de relativiser nos échecs. Procéder de cette manière va nous permettre de construire une confiance en nous tout le long de notre parcours de vie. S'investir dans d es petits pas. En tant que personne hypersensible, aller dans le tout ou rien est assez facile. Nous pouvons être enthousiasmé/e par un objectif mais se retrouver très rapidement vidé/e, épuisé/e physiquement ou émotionnellement par un sur investissement dans l'action. Soit nous nous fixons des objectifs tellement ambitieux qu'ils paraissent inatteignables soit des objectifs réalistes mais sans surveiller notre énergie, notre sommeil, nos besoins, ... Un objectif irréaliste pourrait être de vouloir être confiant/e tout le temps, en toutes circonstances. Ce projet est irréaliste et crée beaucoup de pression en soi avec la recherche d'une performance qui va devenir un enfer. Personne n'est confiant tout le temps et partout. C'est naturel qu'un niveau de confiance fluctue. Viser un objectif réaliste serait de vouloir être confiant/e d'abord dans un domaine de vie ou dans un type de relation sans vouloir le réaliser en un claquement de doigt. C'est avancer dans le petit pas possible, celui qui ne nous challenge pas trop et qui nous oriente vers notre objectif immanquablement. Ce petit pas possible ne va pas cramer notre énergie, notre réserve émotionnelle. Et nous avançons dans ce projet. C'est avancer tout en respectant nos besoins comme bien dormir, se ressourcer en restant parfois seul/e, avoir une activité physique pour nous sentir bien,..... On sort du tout ou rien ! S'autoriser à faire des erreurs Quand nous vivons des succès, nous avons des ailes dans le dos A l'inverse, faire des erreurs ou même avoir un échec nous fait perdre confiance en soi . Frustré/e de ne pas avoir réussi, on se déçoit . Comment encaisser les erreurs, les échecs ? En ayant une autre perception de ces moments là. Il est important de comprendre que plus nous nous m'interdisons, nous nous imposons à ne pas faire d' erreur, plus nous risquons d'en faire par la pression que nous nous mettons. Alors que si nous nous donnons le droit d'en faire et nous réussissons à percevoir l'erreur comme une source d'apprentissage, cela va nous permettre d'en faire beaucoup moins et rebondir plus rapidement là où nous étions bloqué/e par une période de culpabilité. C'est normal de ne pas apprécier d'en faire, c'est humain. Sauf que de rester sur un sentiment d'échec risque d'en produire d'autre. Il est important de se rappeler que nous faisons tous des erreurs et subissons des échecs . Ils font partie de tous les parcours et bien sûr j'en ai vécu. Mais surtout il faut aussi se rappeler qu'ils n'empêchent pas de réussir les objectifs qu'on ambitionne. Cela permet de garder l'impulsion pour recommencer. Recommencer autrement, enrichi/e d'un feedback qui donne lieu à un apprentissage d'une ressource, d'une attitude, d'une action.... Ne restez pas dans le sentiment d'échec sinon vous ne réussirez pas ou plus à avancer. Le mindset qui envisage l'échec comme source d'apprentissage est un accélérateur pour garder confiance en soi . Accueillons la frustration, la colère que nous vivons dans le moment. Nous en avons le droit . Et ne restons pas dedans éternellement. Entrons dans la phase de feedback pour avancer et retrouver confiance en soi Et bien sûr ne pas hésiter à demander de l' aide lorsque nous ne réussissons pas à mettre en place ces 4 points ou l'un d'entre eux Réservez votre appel découverte pour échanger sur votre situation Rejoignez l'accompagnement sur 6 semaines pour construire une personnalité plus forte dans l'affirmation de soi, la confiance en soi, Isabelle ANDREAU
par Isabelle Andreau 06 déc., 2023
Conscientiser qu’on est dans une relation malsaine n’est pas toujours évident ! Il y a pourtant dans les relations, des comportements qui ne sont pas bons pour soi Cela peut être un ami, une collègue ou un proche... Il y a des profils de personnes qui vont être malsain dans une relation. C’est destructeur et utile de prendre les mesures que vous jugerez nécessaire pour vous en protéger. Téléchargez le test "suis je hypersensible ?" Abonnez vous à ma newsletter pour recevoir toujours plus d'astuces et de conseils L'idée n'est pas de voir le mal partout mais simplement de rester vigilant/e sur certaines éléments. Les personnes hypersensibles peuvent être trop tolérantes ou trop indulgentes face à des comportements qui ne vont pas. Quand une relation se transforme en quelque chose qui bride la liberté d'une personne, sa sécurité, sa stabilité émotionnelle ou psychologique, cela signifie qu'il s'agit d'une relation malsaine. Dans les relations, vous devez vous sentir libre d'être vous-même, de vous exprimer et d'avoir vos propres espaces, sans que quelqu'un essaie de manipuler ou de contrôler ce que vous faites. Reconnaître qu'un lien est malsain permet d'être conscient de la situation et de pouvoir s'en éloigner. Voici les critères : - La personne aspire votre temps, votre énergie . Quand vous la quittez ou quand vous êtes en sa présence, vous vous sentez vidé/e. Cette relation n’est pas équilibrée . Cette personne ne parvient pas à combler ses besoins, ses émotions ou son énergie par elle même et s'appuie sur les autres. Etant empathique, vous oscillez entre l'envie de l'aider et l'envie de la fuir car vous ressentez à son contact une sensation d'être "vidé/e ". Il est assez facile de se laisser prendre dans cette relation si vous avez une grande tendance à la culpabilisation et/ou si vous jouez les sauveurs. - Autre cas, la personne vous fait quasi systématiquement culpabiliser . Et vous finissez par ne pas oser dire ou faire quelque chose par peur de ses remarques. Vous commencez à réfléchir plusieurs fois à ce que vous allez dire ou faire La personne a tendance à faire des reproches constants, des insinuations indirectes et des remarques visant à vous faire sentir responsable des situations voire de leurs problèmes. Elle peut aller jusqu' à vous faire douter de vous-même. Cette culpabilisation peut être fréquente dans le cercle familial. Vous culpabilisez si vous n’êtes pas aux rendez-vous familiaux, si vous exprimez votre opinion ou si vous dites simplement non à une demande qui vient d’un membre de la famille. Vous vivez des sentiments désagréables qui sont étouffés par les obligations en tout genre. S'affranchir des membres de sa famille est le premier pas vers l'affirmation de vous même dans vos relations. - Sinon, il y a la personne qui vous amène à ne plus pouvoir être spontané/e. Elle vous fait peur par ses colères excessives, ses changements d'humeur soudain. Elle a une faible tolérance à la frustration lorsque les choses ne se passent pas comme prévu. Elle peut avoir aussi une fâcheuse tendance à envoyer des piques, à ridiculiser. Vous avez le sentiment que vous n'êtes ou vous ne faites jamais assez bien . Elle a un dialogue basé sur la dévalorisation La personne a un besoin prononcé d'avoir le dernier mot et de prendre le contrôle sur les choses. En sa compagnie, vous êtes en ébullition à l’intérieur de vous en ressentant de l’injustice, de la honte, .... Toutes ses dynamiques relationnelles doivent vous alerter . C'est à vous de décider qui entre dans votre espace relationnel. Restez bien maître de vos relations. Les relations ne sont pas faites pour vous écraser. Il s'agit d'un espace de respect mutuel qui enrichit chacun. Les relations sont à revoir régulièrement car l'évolution de chacun module les rapports humains. Une relation est soit constructive (avec parfois des crises mais passagères car il est naturel que surgissent des malentendus dans les relations ou des petites maladresses ) soit elle repose sur quelque chose qui ne demande qu’à exploser pour un oui ou pour un non. Et dans le cas d’une relation amoureuse, l’aveuglement du début, créé par les papillons dans votre ventre, vous empêche de voir la vérité et de ressentir le malaise. Ne sous estimez pas les signes de malaise que vous ressentez . Certaines relations peuvent démarrer sur une base saine et sincère, mais, au fil des ans, l’énergie n’est plus nourrissante, ce qui peut s’expliquer par l’évolution de chacun. Ce qui vous convenait il y a bon nombre d’années n’est peut-être plus adapté à vous aujourd’hui. Prenez le en compte sans culpabiliser. Retenez que les dynamiques malsaines se traduisent par de la culpabilisation répétée, de la peur quasi constante, de la dévalorisation presque au quotidien .... Persister dans une relation qui ne convient pas à votre épanouissement, votre bien être sera une source de mal être jusqu'à vous rendre malade. Quand vous sentez que vous commencez à ne pas ou ne plus vous sentir en harmonie dans une relation, il est bénéfique de vous arrêter pour regarder de plus près ce que ce ressenti vous révèle. S'éloigner, stopper une relation avec une personne malsaine est un cadeau à s'offrir . Vivre sans culpabilité, la peur des réactions de l'autre, sans être vidé/e vous permettra de comprendre ce que c'est que de vivre libre ! Ce qui vous manque peut être, c’est un accompagnement clair pour réussir à retrouver confiance en vous, pour vous affirmer plus sereinement dans vos relations, pour dépasser plus facilement les périodes de doutes, pour vous autoriser à être qui vous êtes, pour être mieux considéré/e et respecté/e,... Prenez connaissance de l'accompagnement en ligne que je vous propose sur plusieurs semaines ici Isabelle ANDREAU
par Isabelle Andreau 06 sept., 2023
Trop donner peut concerner les personnes hypersensibles ! Etant donné que vous êtes empathiques, chaleureux/ses, d'une nature bienveillante...........vous trouvez normal de donner de votre personne. Téléchargez l' eBook de 15 pages OFFERT " Les meilleurs anti stress pour les personnes au mental très actif" La société met en valeur le don de soi, l'optimisation de son temps pour les autres …. Même s’il y a une bonne intention dans tout ça, il y a une problématique lorsque nous donnons à l'excès . Cela peut être contre productif et malsain. Vouloir être aux petits soins pour les autres, toujours disponible, toujours là pour les autres c'est souvent faire preuve d'une grande rigueur envers soi. Donner toujours à vos conjoints, à vos enfants, à vos clients,........... à tout le monde va produire des niveaux élevés de stress et d’adrénaline qui peuvent entraîner des conséquences inattendues. Comme des burn outs, des dépressions, des somatisations,...... Ouvrir votre porte sans limite, sans poser des stop vous amènera à l' épuisement Lorsque vous portez beaucoup d'attention aux autres cela veut dire que vous êtes décentré/e de vous même. Cela peut provenir d’un besoin qui est : si vous ne donnez pas, vous n'existez plus. Donner beaucoup comble le besoin excessif de recevoir des signes de reconnaissance, de validation, d’appréciation…. Si vous ressentez le sentiment d'être indispensable, d’être utile, si vous êtes accroché/e à ça, cela va créer une posture souffrante. Durant des mois, des années, des relations fonctionnent comme ça jusqu' au jour où l'un se sent envahi par l'autre ou l'autre se sent lésé car il ne reçoit pas en retour ce qu'il donne. Ce sont des symbioses malsaines. A force de donner plus que ce que vous recevez, vous mettez de côté des déceptions jusqu'au jour où tout explose ! Crises, bouderies, rancunes, frustrations s'en suivent............qui n'aident aucune des personnes concernées. C’est devenu malsain ! Nous avons tous des choses à faire, des activités à soi et des projets à réaliser, et nous devons garder un peu de temps pour nous amuser et se reposer. Ce n’est pas une option ! Votre cerveau et votre corps doivent refaire se ressourcer pour être productifs et heureux. Lorsque vous êtes fatigué/es, pas au top de votre énergie et que vous allez quand même donner de votre personne, vous n’êtes pas à votre écoute. Vous donnez, vous donnez,.... à l'excès sous prétexte que cela vous fait plaisir de donner. Il y a probablement de la sincérité mais il y a quelqu'un que vous ne prenez pas en considération, c’est vous. Vous vous perdez dans le don de soi. Vous pouvez croire aussi que vous ne serez pas aimé/e si vous ne donnez pas autant, si vous ne faites pas autant plaisir. Il y a la difficulté d’être soi même c’est-à-dire en accord avec ses besoins qui parfois ne sont pas les mêmes que les autres. Vous êtes en symbiose avec la détresse, les besoins de l’autre au point où vous en oubliez vos besoins . Pour sortir de ce fonctionnement, il y a à arrêter d’être connecté/e, centré/e sur les autres et à revenir à soi ! Votre habitude de ne pas être en contact avec vos besoins doit disparaître A force de ne pas les sentir, on s’oublie complètement . Prendre soin de son énergie , de soi en tant que personne hypersensible est important ! Nous sommes souvent dans les " il faut" ou " je dois" Les injonctions peuvent gouverner notre vie. Sans remettre en question tout ça On puise dans ses ressources et si vous ne prenez pas le temps de régénérer votre énergie, l'épuisement va venir. Revenez au droit d’avoir des besoins, au droit de ressentir vos besoins, au droit de ressentir ce que vous ressentez, au droit d’exprimer vos besoins, au droit de faire des demandes… Progressivement apprenez à prendre un peu plus de place, un peu plus de temps pour vous, à accorder un peu plus d’écoute à vos besoins……… Apprenez à déculpabiliser ! Votre énergie est ce que vous avez de plus précieux . Notez des créneaux dans votre semaine pour prendre soin de votre énergie, de votre temps. S'oublier installe dans une spirale qui devient infernale car vous ne trouvez plus la sortie . Mettez votre énergie au centre de votre vie ! Accordez vous cette priorité . Arrêtez de toujours vous demander d'être créatif/ve, performant/e, positif/ve, aidant/e........ C'est une honnêteté à avoir avec soi même. Mettez votre mental au repos, ralentissez le nombre d'interactions avec les autres, arrêtez d'être disponible à outrance ,....... Dès que votre batterie commence à faiblir, c'est un signal à prendre en compte. Cela demande de s'accueillir comme étant humain même si vous avez peur de décevoir, de blesser, de ne plus être productif/ve, peur de rater quelque chose,....... C'est en comprenant que vous n' êtes pas un robot que vous reviendrez à des notions qui respectent votre énergie . Si vos peurs de blesser, de décevoir sont incontrôlables, libérez vous en avec NERTI C'est une méthode que j' emploie avec succès depuis des années A toujours vouloir donner, aider sans cesse vous perdez de l' énergie. Et vous commencerez à être moins disponible pour aider là où c'était vraiment nécessaire, à moins donner là où c'était bien de le faire, à être moins productif/ve .......... C’est devenu contre productif ! Au lieu d'entretenir de la culpabilité, voyez les limites du don de soi comme quelque chose de beau ! Ce qui vous manque peut être pour sortir de ce fonctionnement, c’est un accompagnement clair pour réussir à retrouver une relation avec vous même afin de respecter vos besoins, vous affirmer plus naturellement dans vos relations pour dépasser plus facilement les périodes de culpabilité, vous autoriser à dire non aux différentes sollicitations, restaurer une belle confiance en vous,... P renez connaissance de l'accompagnement que je vous propose sur plusieurs semaines ici Isabelle ANDREAU
par Isabelle Andreau 07 juil., 2023
Est ce utile de s'inquiéter ? Cela peut paraître une drôle de question que de se demander si c'est utile de s'inquiéter ou pas ! L'inquiétude peut concerner particulièrement les personnes aux profils hypersensibles .
par Isabelle Andreau 03 juin, 2023
Afin de conserver un équilibre de vie, un bel épanouissement personnel il y a certains signes à prendre en compte dans les relations. Les relations où votre équilibre émotionnel est menacé ne sont pas toujours des relations où il y a des cris, des hurlements... Mais des relations où l’on porte une charge quasi constante qui pèse sur vous et freine votre épanouissement personnel. Les personnes hypersensibles tombent assez facilement dans ce style de relation pour différentes raisons ....
par Isabelle Andreau 25 mai, 2023
il est très fréquent chez la personne hypersensible d'avoir du mal à poser ses limites . Dire non est une difficulté pour elle . Et cela est en lien avec différentes peurs qu'elle nourrit sans le savoir . Pour mieux saisir les perturbateurs que vous vivez, je vous décris ici quelques peurs spécifiques. Faites le test OFFERT " Suis je hypersensible " ici Avoir à dire non peut réveiller certaines peurs . Pour beaucoup le dire ou l' entendre n'est jamais facile. Toutes ces peurs nuisent à vos relations. Cet exercice qui semble difficile est essentiel notamment pour s’affirmer ou encore rester concentré/e sur ses priorités. Il y a la peur de blesser Quand vous communiquez votre refus, vous avez peur de froisser la personne . Il y a l'idée que vous puissiez mal faire les choses et que l' autre ne vous appréciera plus . Vous craignez de vous exprimer sous prétexte que c'est mal. S' affirmer dans ses choix ne blesse pas forcément l'autre, c'est une présomption qui ne correspond pas nécessairement à la réalité. Maintenant si certaines personnes ne supportent pas que vous leur disiez non , demandez vous si vous êtes certain de vouloir fréquenter ce genre de personne. Lorsqu'on explique que l'on prend cette décision parce que l'on croit que c'est ce qu'il y a de mieux pour nous, la majorité des personnes comprennent. Il y a la peur de décevoir Les personnes hypersensibles placent trop souvent les besoins des autres avant les leurs. Prendre en compte les autres, c’est bien, jusqu’à un certain point. Lorsque les besoins des autres deviennent prioritaires et nous empêchent de faire les choses que nous voulons faire, cela devient un obstacle. Cette peur de décevoir est souvent une conséquence de la peur du rejet. Cette peur d'être rejeté/e est si forte que vous dites oui sans cesse afin de ne pas être mise à l'écart . Et cela peut vous enfermer dans une boucle de questions qui renforcent cette insécurité. Vivre dans la volonté de satisfaire les autres entraîne des conséquences sur votre croissance personnelle. De plus, c’est extrêmement épuisant. Il y a la peur d' être jugé/e négativement Pour certaines personnes hypersensibles, passer pour une mauvaise personne serait prendre un trop grand risque. Cela commence avec cette petite voix dans leur tête qui fait ce genre de critique : « Qu'est-ce qu'ils vont penser de moi si je refuse ? " La crainte d'être jugé/es négativement, voire dénigré/es vous pousse à un contrôle extrême de ce que vous renvoyez (apparence, discours, attitude...) Cette peur trouve essentiellement son origine dans le manque de confiance en vous et se nourrit de la peur de l'échec, peur du ridicule, peur de ne pas être aimé.... Cette attitude aura des répercussions importantes sur les relations que vous entretenez avec les autres. Effectivement, vivre stressé/e avec le sentiment de ne pas être une personne comme source de joie pour les autres, empêche votre spontanéité de s'exprimer. Il y a la peur du conflit Vous sautez vite à la conclusion que cela risque de mal se passer si vous dites non. Plutôt que de vous affirmer sereinement, vous éviter de dire oui afin d'éviter un éventuel conflit. Malheureusement, cette peur est celle qui remplit graduellement et silencieusement votre coupe intérieure de colère . Vous finissez par laisser les autres faire pensant que vous ne pourriez pas vous défendre dans la situation. Diminué/ un peu plus par cette attitude, votre estime personnelle chute. Un véritable cercle vicieux s'installe dont vous avez parfois, l'impression de ne pas pouvoir sortir. Vous l' avez compris, se retenir de dire ce qu'on pense ne sera pas une solution. Ne pas oser dire non par peur n''est une bonne approche . Pour gagner en affirmation de soi, commencez doucement et sur de très petites situations. Vous prendrez ainsi confiance en vous. En vous affirmant, vous vivrez plus de sérénité, vous apprécierez d'être dans le respect de vous même et vous vous ferez respecter, vous gagnerez en authenticité avec vous mais aussi avec les autres, vous prendrez la main sur vos décisions et vous serez aux commandes de votre vie. Vous en verrez toutes les conséquences positives ! Ce qui vous manque peut être, c’est un accompagnement clair pour réussir à retrouver confiance en vous, pour vous affirmer sereinement dans la vie, pour dépasser plus facilement les périodes de doutes, pour vous autoriser à être qui vous êtes, pour respecter vos valeurs, pour ne pas tomber dans un perfectionnisme qui ne vous donne pas de plaisir... Prenez connaissance de l'accompagnement que je vous propose sur plusieurs semaines ici Isabelle ANDREAU
par Isabelle Andreau 04 avr., 2023
C'est plutôt universel de vouloir être heureux. Même si les critères d'épanouissement sont différents d'une personne à une autre, il semblerait que certains soient spécifiques aux personnes hypersensibles. Parce que notre cerveau traite les informations différemment, il y a des éléments clés pour réussir à être plus heureux et j' ai à cœur de vous les partager
par Isabelle Andreau 25 févr., 2023
Le monde avec ses normes voire ses exigences peut constituer un terrain de challenges à relever pour les personnes dites hypersensibles. Et parfois, cela est difficile de connaître les bons des mauvais conseils pour soi. Certains vont vous aider et d'autres pas du tout. La plupart d'entre nous recherchent et veulent le meilleur pour eux mêmes, voici donc une liste des pires et des meilleurs conseils qui concernent votre profil d'hypersensible.
Plus de posts
Share by: